COMPTES PUBLICS

5. Nous réaliserons le plus grand plan d’économies budgétaires des cinquante dernières années

En prenant enfin des mesures courageuses de réduction des dépenses somptuaires de l’État et du mille-feuilles administratif et territorial, nous réaliserons un grand plan d’économies budgétaires qui permettra dans un premier temps de s’assurer que l’argent des Français est alloué aux dépenses réellement utiles à l’intérêt de la Nation et au fonctionnement des services publics, et, dans un second temps, d’envisager une baisse de la fiscalité.

En particulier, nous :

  • Supprimerons les coûts induits par notre appartenance à l’Union-européenne (XX milliards) et à l’OTAN (400 millions d’euros par an) ;
  • Réduirons le budget de frais de fonctionnement et de déplacement du Président de la République et du Gouvernement de 20 % (XX millions) ;
  • Proposerons aux Français, par réforme constitutionnelle, de réduire le nombre de Parlementaires de 35 % (XX milliards) ;
  • Supprimerons les Conseils régionaux – remplacés par des établissements de coopération légers, ce qui revient à supprimer 1758 postes de Conseillers régionaux (XX milliards) ;
  • Diviserons par deux le nombre de Conseillers départementaux (XX milliards) ;
  • Supprimerons les doublons d’attributions entre l’État et les collectivités locales ;
  • Auditerons la pertinence des subventions attribuées par l’État ou les collectivités locales et supprimerons celles qui ne sont pas d’intérêt public ;
  • Supprimerons les financements publics aux partis politiques (XX millions), car les partis politiques doivent vivre de leurs adhérents, ce qui atteste de leur représentativité réelle, et non de rentes d’État.

Nous engagerons également :

  • Un grand plan de lutte et de répression contre la fraude fiscale, facilité par le rétablissement du contrôle des mouvements de capitaux (XX milliards d’euros par an) ;
  • Un plan de répression de la fraude aux prestations sociales (XX milliards d’euros par an). Par exemple, une vigilance particulière sera portée aux prestations sociales (et, en particulier, les versements de pension de retraites) avec des contrôles rigoureux, afin d’éviter les escroqueries aux prestations fictives telles que les retraites versées à des personnes dont le décès n’est pas déclaré.