4 – La France, l’Argent public
Nous réaliserons le plus grand plan d’économies budgétaires des 50 dernières années, sans dégrader la qualité des services publics.
Nous réduirons les dépenses somptuaires de l’État et le mille-feuilles administratif et territorial qui coûtent des sommes considérables aux Français. Nous réaliserons ainsi un grand plan d’économies budgétaires qui permettra :
- Dans un premier temps de s’assurer que l’argent des Français est alloué aux dépenses réellement utiles à l’intérêt de la Nation et au fonctionnement des services publics,
- Et, dans un second temps, d’envisager une baisse de la fiscalité.
Nous prendrons des mesures d’allègement des strates administratives qui font peser un fardeau exagéré sur le dos des Français. Ces économies n’affecteront pas les prestations offertes aux Français ni leurs droits sociaux. Bien au contraire, elles permettront d’améliorer la vie de nos compatriotes :
- Suppression des coûts budgétaires liés à notre appartenance à l’Union européenne (12 milliards d’euros par an d’économies) ;
- Suppression des Conseils régionaux – remplacés par des Établissements publics administratifs de coopération légers –, ce qui permettra de supprimer 1758 postes de Conseillers régionaux, des frais d’investissement et de fonctionnement considérables et des doublons administratifs avec les Conseils départementaux, très préjudiciables à la lisibilité de l’action des pouvoirs publics (5 milliards d’euros) ;
- Suppression des coûts budgétaires liés à notre appartenance à l’OTAN (400 millions d’euros) ;
- Réduction, par une réforme constitutionnelle, du nombre de parlementaires de 35 % (120 millions d’euros) ;
- Réduction de 50% du nombre de Conseillers départementaux (75 millions d’euros) ;
- Abolition des financements publics aux partis politiques (70 millions d’euros), car les partis politiques doivent vivre des adhésions et cotisations de leurs adhérents, ce qui atteste de leur représentativité réelle, et non de rentes d’État ;
- Réduction des frais de fonctionnement et de déplacement du président de la République et du gouvernement de 30 % (42 millions d’euros) ;
- Suppression du dispositif permanent d’allègement de charges patronales (ex-CICE) pour les grandes entreprises (10 milliards d’euros) ;
- Économies sur les aides à l’emploi (3 milliards d’euros) ;
- Réexamen systématique de la pertinence des subventions attribuées par l’État ou les collectivités locales et suppression de celles qui ne sont pas d’intérêt public.
Faisons-le !
En nous délivrant des contraintes de l’UE et par un effort de rationalisation administrative, nous diminuerons la fiscalité tout en améliorant les services publics.