3- Emploi . La France, l’Activité
Nous créerons un million d’emplois sur trois ans grâce au choc de compétitivité consécutif à la sortie de l’euro, et nous mettrons en place une politique incitative du retour au travail
Les gains en compétitivité du commerce extérieur que permettra la sortie de l’euro, assortie de notre politique d’abaissement des charges pour les PME, aboutiront à la diminution d’un million du nombre de chômeurs de catégorie A sur trois ans (Cf. étude « Les scenarii de dissolution de l’euro », Fondation ResPublica, septembre 2013).
Dans les dernières années du quinquennat, une fois la situation économique de la France rétablie et le marché du travail redevenu dynamique, nous passerons d’une politique de résorption du chômage subi à une politique de sanction de l’inactivité choisie.
Les fonds de l’assurance chômage, payés par les citoyens qui travaillent, doivent servir à indemniser des travailleurs qui sont privés d’emploi contre leur gré. Ils ne doivent pas servir à entretenir abusivement des personnes qui refusent délibérément de travailler.
Pour garantir cette bonne utilisation de l’argent des contribuables, nous mettrons en place des mesures incitatives de retour à l’emploi et pénalisant l’abus de prestations sociales.
Ainsi, les allocations-chômage pourront être supprimées après deux refus de propositions d’embauche correspondant aux critères géographiques du demandeur d’emploi.
Si, comme nous avons de sérieuses raisons de l’espérer, le marché du travail redevient très dynamique (tel qu’il l’est actuellement au Royaume-Uni depuis le Brexit), nous procéderons également à la réduction progressive des dispositifs d’emplois aidés, peu efficaces et très dispendieux. Ceci permettra à l’État d’économiser 3 milliards d’euros par an.
Faisons-le !
Notre appartenance à l’euro favorise les importations sur les exportations. Or l’excès d’importations est une source majeure du chômage.